@Lautreje Drôle d' histoire que ce corps qui est pour moi celui d' un enfant! Mais ne portons-nous pas à certains moments dramatiques de la vie nos vieux comme nous le faisons pour des enfants? Et il me vient à l' esprit un moment précis de mon histoire personnelle que retracerait ce dessin. Quelle force de souvenir décidément que ce dessin destin! Merci...de l' avoir mis à jour.
@TG Ce que j' aime bien avec vous TG, c' est que vous posez une interrogation de peintre! Figurez-vous que je me la suis posée cette question du nez. Faut-il en mettre un ou pas? A quel moment faut-il s' arrêter? Se concentrer sur le souci de ne pas sur déterminer l' expression du trait, garder sa dynamique.. Remarquez que cela se fait dans l' instant,la spontanéité, l' habitus. Et vous, comment vous faites? Belle journée!
@joye Il y a surtout de l' effroi...( pétrifiée, le mot de Lautreje). Entre le chaud et l' effroi, il faut choisir... C' est vrai que les épaules sont protégées, et le bas du corps , caché. Mais foin de psychologie, l' important c' est ce que le dessin opère dans sa forme. A bientôt!
Serré entre ses bras, il ne laisse échapper que ses pauvres yeux rougis et une bouche pleine de cendres. Mais sa mèche rebelle l’auréole d’argent. Il vivra.
Incontestablement, elle. Ses deux seins. Féminine, enfantine. Cherchant à se dérober mais tellement présente en fait ...Triste ou inquiète. Femme. Faire le guet. La femme qu'on quette.
@Veronica La femme que l' on quette n'es pas, de toute évidence, une co-quête... Un autre motif, petit motet, buisson momentané sous le frottage de crayon de couleur. Comme une pudeur, un repentir, un pan de vêtement remonté précisément sur un moment du corps. A bientôt!
je vois le lion et sa crinière, dans l'art médiéval, c'est toute la symbolique de l'animal qui garde les yeux ouverts pour surveiller...il est représenté de nombreuses fois sur les chapiteaux des cloîtres bénédictins! est-il lucide ou protecteur ?
@gwendoline Le lion, la lionne n' attaquent pas l' humain, ils s' enfuient? Je ne sais pas trop... Mais en ce qui concerne l' attitude, vous avez certainement raison! Dimanche couvert par ici.
Quelle force que cette encre bleue... Je ne sais la traduire mais j'en ai besoin quand je regarde ce petit être. Un espace dont on sait s'il est ciel, eau ou ombre, s'il rassure ou s'il oppresse, s'il met au monde, s'il sort le petit être des limbes. Un visage surgi du passé, étonné d'être arraché à l'oubli par quelques traits. La main a su avant vous ce qu'elle cherchait... Que de pôésie dans ces séries...
ses yeux sont fatigués de guetter et son corps de petite vieille s'est ratatiné, expressions en souffrance, l'attente est pétrifiante !
RépondreSupprimerC'est curieux que ce que l'on voit le plus dans cette œuvre est le nez, alors même qu'il n'y est point…
RépondreSupprimer@Lautreje
RépondreSupprimerDrôle d' histoire que ce corps qui est pour moi celui d' un enfant!
Mais ne portons-nous pas à certains moments dramatiques de la vie nos vieux comme nous le faisons pour des enfants?
Et il me vient à l' esprit un moment précis de mon histoire personnelle que retracerait ce dessin.
Quelle force de souvenir décidément que ce dessin destin!
Merci...de l' avoir mis à jour.
@TG
RépondreSupprimerCe que j' aime bien avec vous TG, c' est que vous posez une interrogation de peintre!
Figurez-vous que je me la suis posée cette question du nez. Faut-il en mettre un ou pas?
A quel moment faut-il s' arrêter?
Se concentrer sur le souci de ne pas sur déterminer l' expression du trait, garder sa dynamique..
Remarquez que cela se fait dans l' instant,la spontanéité, l' habitus.
Et vous, comment vous faites?
Belle journée!
Quand j'hésite entre plusieurs voies, je prends toujours la plus douloureuse…
RépondreSupprimerJ'aime le joli col roulé, mais on dirait que ton sujet a trop chaud...
RépondreSupprimer@joye
RépondreSupprimerIl y a surtout de l' effroi...( pétrifiée, le mot de Lautreje).
Entre le chaud et l' effroi, il faut choisir...
C' est vrai que les épaules sont protégées, et le bas du corps , caché.
Mais foin de psychologie, l' important c' est ce que le dessin opère dans sa forme.
A bientôt!
@TG
RépondreSupprimerVous aimez vous faire mal, moi pas. La vie est suffisamment ingrate comme ça!
Serré entre ses bras, il ne laisse échapper que ses pauvres yeux rougis et une bouche pleine de cendres.
RépondreSupprimerMais sa mèche rebelle l’auréole d’argent. Il vivra.
@Arthémisia
RépondreSupprimerJe la voyais plutôt elle, mais peu importe si chacun y projette son propre imaginaire!
Incontestablement, elle. Ses deux seins.
RépondreSupprimerFéminine, enfantine.
Cherchant à se dérober mais tellement présente en fait ...Triste ou inquiète.
Femme.
Faire le guet.
La femme qu'on quette.
@Veronica
RépondreSupprimerLa femme que l' on quette n'es pas, de toute évidence, une co-quête...
Un autre motif, petit motet, buisson momentané sous le frottage de crayon de couleur.
Comme une pudeur, un repentir, un pan de vêtement remonté précisément sur un moment du corps.
A bientôt!
je vois le lion et sa crinière, dans l'art médiéval, c'est toute la symbolique de l'animal qui garde les yeux ouverts pour surveiller...il est représenté de nombreuses fois sur les chapiteaux des cloîtres bénédictins!
RépondreSupprimerest-il lucide ou protecteur ?
@gwendoline
RépondreSupprimerLe lion, la lionne n' attaquent pas l' humain, ils s' enfuient? Je ne sais pas trop...
Mais en ce qui concerne l' attitude, vous avez certainement raison!
Dimanche couvert par ici.
Quelle force que cette encre bleue... Je ne sais la traduire mais j'en ai besoin quand je regarde ce petit être. Un espace dont on sait s'il est ciel, eau ou ombre, s'il rassure ou s'il oppresse, s'il met au monde, s'il sort le petit être des limbes. Un visage surgi du passé, étonné d'être arraché à l'oubli par quelques traits. La main a su avant vous ce qu'elle cherchait...
RépondreSupprimerQue de pôésie dans ces séries...
@christiane
RépondreSupprimerMerci!